14.04 Nous nous rejouissons enfin d'arriver a Bangkok pour y voir ce qui
s'y passe.

Nous y serons 9h45 de bus plus tard soit a 17h00. Depuis le terminal Nord des bus , atteignons en taxi le River View Guesthouse proche du quartier chinois jouissant d'un restaurant au 8e etage.

Y faisons nos premiers pas de nuit, le long de Thanon Silom. Pour l'occasion, certaines rues sont interdites a la circulation en raison du Songhkran Festival ou fete de l'eau, penible.

Parcourons les celebres ruelles desormais touristiques de Patpong celles-la memes ou d'innombrables GIs americains s'y sont amuses il y a 30 ans (presque quand on est nes !). Les gogo danseuses n'ont plus de secret pour nous.

A titre de comparaison, c'est comme a la boucherie Stuby de Vevey le samedi matin, mais avec de la techno dedans. Le kilo de viande y est moins cher bien sur, mais plus souriant. Bien que nous n'ayons pas a nous jusifier ici (voire devant le petit Jesus), nous n'avons rien consomme, hors mis une Corona.

Au retrour, constatons une intense activite cafardesque dans les rues, impressisonnant.
 

15.04 Dans la matinee, partons a pieds pour la visite de Bangkok.: Chinatown, le Wat Pho ou se trouve le plus grand buddha couche (en refection malheureusement) du monde, mais avant Claude se paie 25 cartouches au stand de tir gere par des militaires (donc Claude a tire ses premiers coups ici).

Voulions aller voir le fameux buddha d'emeraude (symbole de la Thailande), mais omettons de prendre nos rallonges de pantalons (car pas de shorts). Puis une longue marche jusqu'au zoo, ou il a fallu eviter les fetards de l'eau, toujours aussi penibles.

Visitons rapidement cet endroit plein de betes et retournons a notre logis pour y prendre un repas bien merite au 8e etage.

Avons compte, avons parcouru 15 km qui ont uses nos schlapps. Nous n'avons pas bien pu nous rendre compte de l'activite de Bangkok car certains magasins et quartiers etaient purement et simplement fermes; nous sommes en effet tombes sur les 2 (seuls ?) jours feries l'annee (a cause de l'eau), raison pour laquelle nous decidons de partir le lendemain (mais pour mieux y revenir ensuite).