Iles Galapagos 1 Iles Galapagos 2 Quito 2

 

 

 

 

 

 

Au matin du 3e jour, nous restons sur une plage en compagnie de lions de mer. Regis a aussi sauve la vie a Claude, en le reveillant de justesse de
l’assaut d’une de ces bestioles. Nous avons aussi pu nous rendre compte
de la naissance d’un bebe, quelques heures plus tot, en voyant les trucs sanguinolants de la mere, beuuuurk !...mais c’est la vie ! Dans l’apres-midi, l’endroit le plus riche, un aigle, des iguanes marins par centaines, des lions de mer…encore, les rigolos fous a pattes bleues qu’on peut approcher sans crainte, un couple d’albatros se faisant la cour, et, de la falaise, un blow-hole rejetant de l’eau dans les airs et parfois des poissons ou des iguanes. Sur ces belles images, nous retournons au bateau pour y passer la nuit.
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Le 4e jour fut moins colore mais passa neanmoins tres vite, sur l’ile de
Floreana. Arret aux abords d’un autre lagon, plusieurs flamans roses, puis
plus loin, l’endroit ou se trouve la Post Office Bay. Il s’agit d’une tradition conservee depuis les premiers marins, soit de deposer des messages dans une boite, sans timbre, et de prendre ceux ou les personnes se rendent physiquement.
Nous avons neanmoins laisse une carte postale de Itingen-Suisse, ecrite le jour meme, on risquait encore de la perdre. Par contre nous avons chacun mis un message dans l’attente du resultat. Sympathique est le mot. Ensuite notre guide nous racontera des histoires de l’ile dans la nuit totale d’une grotte. Le soir, nous accostons a Puerto Ayora, seule ville admise sur ces iles (12000 habitants) pour se degourdir les jambes. Si les jambes suivent, notre cerveau est toujours sur l’eau : ca tangue !

 

 

Deja le dernier jour, visite du centre de recherche Darwin ou nous pouvons
enfin voir ces tortues geantes des Galapagos, tres gros bebes a 250 kg
piece, pouvant rester sans manger pendant 8 mois. Comme on pouvait s’y attendre, a l’epoque, elles faisaient l’affaire des marins pour avoir de la viande fraiche, raison pour laquelle plus de 100'000 specimen ont ete tues. Mais le centre de recherche est la pour les sauver des predateurs actuels. Snif, il faut retourner a Quito, en avion, le 20e pris depuis 8 mois. Beaux souvenirs
!



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